Depuis peu, je soutiens le mouvement Slow déco lancé par Nina, la blogueuse de My Green Cocoon (redécouvrez son interview ici). Mais soutenir, concrètement ça veut dire quoi ? Cela veut dire que je partage avec vous mes découvertes dans l’univers de la slow déco, je relaye les informations sur le sujet et vous invite à faire de même sur vos réseaux sociaux. La décoration nous entoure au quotidien : du choix de notre peinture à l’achat d’une bougie, le moindre de nos gestes a un impact éthique et écologique.
La slow décoration, en quelques mots
La décoration éthique, la décoration écoresponsable, la décoration green ou la slow décoration… Autant de termes qui réfèrent à une décoration qui respecte l’environnement d’une part, mais aussi l‘artisanat, le “fait-main” ainsi que les travailleurs d’autre part. Comme pour la slow food, ou la slow fashion, ces trois éléments que sont l’environnement, l’humain et le social sont indissociables d’une démarche slow. Bien entendu, il est difficile de rencontrer la perfection en matière de slow décoration, mais si un objet rencontre déjà l’un des critères, c’est un grand pas en avant !
Concrètement, les matières entrant dans la démarche de la slow déco doivent, dans l’idéal, être recyclables, bio, recyclées, etc. Elles ne doivent pas rejeter de pollution dans l’air, ni être toxiques. Leur aspect local est également important. Par ailleurs, la slow déco favorise les objets faits main, l’artisanat plutôt que l’industriel. Enfin, l’aspect social concerne la juste rémunération du travailleur ainsi que des conditions de travail respectueuses.
“La slow déco, c’est s’offrir un objet avec un supplément d’âme.”
Comme pour le mouvement slow en général, l’idée principale de la démarche est de privilégier la qualité à la quantité.
Des ebooks pour se lancer
La blogueuse Nina du blog My Green Cocoon a créé deux ebooks pour celles et ceux qui souhaitent se lancer dans la slow déco. Le premier “Débuter en slow déco” se consacre à définir les contours de la slow décoration : la philosophie, les étapes pour se lancer, les labels et les matières. L’annuaire 1 recense quant à lui une centaine de marques de décoration de tout type et à tous les budgets.
Très esthétiques et aérés, les deux ouvrages sont agréables à lire et regorgent d’informations utiles et concrètes. Disponibles sur son site, voilà un belle base pour mieux s’orienter dans ses achats écoresponsables.
La volonté de Nina, c’est aussi de nous montrer que la décoration écoresponsable peut rimer avec esthétisme. Dans de prochains articles, je vous montrerai également à quel point il existe de magnifiques choses réalisées avec amour par de petits artisans.
#Myslowdeco
Vous aussi, vous vous intéressez à la décoration responsable ? Vous avez un compte Instagram ? N’hésitez pas à ajouter le hastag #myslowdeco lorsque vous publiez des photos de votre intérieur ou de découvertes que vous avez faites.
Alors, ça vous inspire quoi, la slow déco ?
J’aime la slow déco quand il est question de récup’, de DIY, de consommer la décoration différemment. Néanmoins, ces derniers mois, sur les réseaux sociaux, la slow déco prend la forme de n’importe quelle tendance où il un y a un univers type, des couleurs et des accessoires spécifiques. Le côté slow profond disparait au profit de la seule esthétique. C’est dommage…
Tu as tout à fait raison. C’est malheureusement toujours les dérives d’un concept à la mode, comme tu dis. Et du coup c’est compliqué pour les personnes qui cherchent réellement à consommer mieux et qui doivent vraiment faire un tri…Décidément le greenwashing est partout !
Bonjour et merci pour cet article qui me fait découvrir la slow déco ! J’apprécie le concept car il y a une éthique écologiste et minimaliste derrière !
Avec plaisir ! Oui tout à fait, c’est un concept global !
Intéressant ton article je ne regrette pas d’être passée par ici 🙂
Merci, ravie que cela te plaise !
Ça m’inspire un immense merci ! Merci de relayer avec justesse et amour la slow deco ! ❤️ J’ai hâte de découvrir tes trouvailles !